Mike Yavel a écrit:Je suis en train de m'en inspirer ( fortement je l'avoue) pour me faire un document que je présenterai lors de la première séance de mon club. J'ai supprimé la partie "analyse de partie" pour me concentrer davantage sur le but du jeu et le fait que l'adversaire fait tout pour contrarier vos plans...
Merci, J’ai eu plaisir à visionner l’Animation Flash et ta vidéo que tu as montée! Cette petite histoire simple nous présente bien le concept de base du jeu de GO.
Laissez-moi vous partager une vision semblable extrait d’une traduction libre d’un livre anglophone: (la version originale suit)
Le jeu de Go peut se comparer à la symbolique de l’occupation progressive de notre planète par la race humaine.
Les côtés du jeu sont des rivages baignés par les océans et les mers. Les coins peuvent être comparés à des îles ou des péninsules.
Les territoires ayant une plus grande zone littorale sont plus faciles à défendre.
La partie centrale du jeu correspond au centre des continents où les habitants n’ont pas débouché à la mer.
Au début, les hommes étaient très peu nombreux et les familles ou tribus avaient tout le territoire qu’ils désiraient sans nécessité d’une action offensive ou défensive. Ils habitaient dans des zones où les frontières ne bougeaient pas.
Mais avec la multiplication des êtres vivants ont commencé les premières luttes pour l’appropriation des meilleurs endroits le long des rivières et des côtes de la mer.
Pendant que le jeu se développait et que les bases se consolidaient, l’avance vers l’intérieur débutait.
L’occupation de ce territoire fut rendue permanente par la formation de masses vivantes.
Lorsque la guerre se termina, des traités de paix furent signés. Tous les territoires de la carte sont occupés.
Il existe des endroits où vous trouvez de petites ou de larges populations qui ont définitivement conquis leur territoire.
Tandis qu’à d’autres endroits se sont des masses vivants côte à côte dans le respect des droits de leurs voisins, qu’ils ne pourront jamais espérer déloger.
Dans notre monde réel, nous ne sommes pas arrivés encore à l’état de la finalité d’un jeu de GO.
(Traduction libre du texte original suivant):
A game of GO is symbolic of the gradual occupation of our planet by the human race.
Its sides are the coasts, washed by oceans and seas. The corners can be compared to islands or peninsulas.
Those parts having a greater coastline are more easily defended.
The central part of the map corresponds to the centre of continents where the inhabitants have no outlet to the sea.
In the beginning, men were very few and the families or tribes had all the territory they desired without need for offensive or defensive action. They lived in a stale of nature.
But with the multiplication of human beings began the first struggles for the appropriation of the best places along the rivers and sea coasts. As the game develops and bases have been consolidated, advance to the interior is begun.
The occupation of this territory is rendered permanent by the formation of live masses.
When the war ends peace treaties are made. All territories on the map are occupied.
In one place we find large or small masses that have definitely won their territory, in another, masses living side by side respecting the rights of their neighbours whom they can never hope to dislodge.
We have not arrived, in our world, at the state of finality achieved at the end of a game of go.
From “The Classic of GO”, by Chang Ni. (Published between 1049 and 1054.)
Extract from “Cho Chikun – GO, A complete introduction to the game.”